Les representations du corps chez les femmes pratiquant le fitness a Aakar

التفاصيل البيبلوغرافية
العنوان: Les representations du corps chez les femmes pratiquant le fitness a Aakar
المؤلفون: Cheikh, TT, Fall, I
المصدر: Journal de la Recherche Scientifique de l’Université de Lomé; Vol 17, No 3 (2015); 409-417
بيانات النشر: Journal de la Recherche Scientifique de l’Université de Lomé, 2016.
سنة النشر: 2016
مصطلحات موضوعية: représentation, corps, femme, activité physique, fitness, representation, body, woman, physical activity, fitness
الوصف: Les femmes sénégalaises notamment celles vivant en milieu urbain sont pendant longtemps restées confinées dans l’univers domestique et prenaient soin de leur corps pour avoir des rondeurs qui ont toujours été une valeur esthétique. L’idéal de femme de la société sénégalaise était la femme charnue aux rondeurs et aux surcharges pondérales avec une démarche lente (modèle « jongama »). La pratique de l’activité physique par les femmes à travers le fitness, tributaire d’un changement des mentalités et des modes de vie, répond à un besoin de réappropriation et de contrôle de leur corps (poids, santé) dans un contexte où la culture dominante impose la quête d’un « nouveau corps » pour mieux se vendre dans le « marché de la forme ».Les pratiquantes de fitness cherchent surtout à « être en forme », à « garder la ligne », « à maigrir », à « avoir un beau corps » pour s’identifier aux canons de beauté véhiculés par les médias et incarnés notamment par les mannequins et les stars occidentaux. L’image du corps semble bien avoir évolué et la corpulence est en passe d’être dévalorisée ; d’où la dynamique du rapport des femmes urbaines à leur propre corps. Ces dernières vivent une situation d’entre deux en ce sens qu’elles ne veulent être « ni totalement grosses, ni totalement minces » pour rester dans l’esthétique corporelle de leur société et continuer à plaire.Mots clés: représentation, corps, femme, activité physique, fitnessEnglish Title: The representations of the body in fitness women practicing in DakarEnglish AbstractSenegalese women especially those living in urban areas have long remained confined to the domestic world and taking care of their bodies to have curves that have always been aesthetic value. The ideal woman of Senegalese society was fleshy woman with curves and overweight with a slow approach (Model "jongama"). The practice of physical activity by women through fitness, dependent on a change in mentalities and lifestyles, meets a need of re appropriation and control of their body (weight, health) in a context where dominant culture imposes the search for a "new body" to sell better in the "market of fitness".Fitness practitioners seek primarily to "get in shape" to "hold the line", "lose weight" to "have a beautiful body" to identify with the canons of beauty in the media and in particular embodied by models and Western stars. Body image seems to have evolved and corpulence is about to be devalued; where the dynamics of the ratio of urban women in their own bodies. The latter are in a position in-between, in that they do not want to be "neither totally fat nor thin totally" to remain in the body aesthetics of their society and continue to please.Keywords: representation, body, woman, physical activity, fitness
وصف الملف: application/pdf
اللغة: English
تدمد: 1727-8651
2413-354X
URL الوصول: https://explore.openaire.eu/search/publication?articleId=78975075580c::84629adbb1c19e53363d2ab220610f1c
https://www.ajol.info/index.php/jrsul/article/view/134841
رقم الانضمام: edsair.78975075580c..84629adbb1c19e53363d2ab220610f1c
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